Quel est le vrai problème du célibat ? Ce que les femmes doivent comprendre !

  • Source : lasenegalaise.com


Les statistiques nous présentent une réalité douloureuse d’un fléau qui ne cesse de semer l’anxiété au sein de la famille surtout que le problème a pris de l’ampleur dans les débats médiatisés.

On parlait du problème du célibat à l’époque de nos grand-mères à l’âge de 20 ans, tandis que dans nos jours, la sonnette d’alarme est tirée vers l’âge de 30 ans relativement à plusieurs facteurs… L’échelle des valeurs n’est plus la même : auparavant, le choix de l’époux et de l’épouse se faisait par rapport à la réputation de la famille, la religion et à l’éducation, tandis qu’aujourd’hui le choix est centré sur l’argent et sur tout ce qui est matériel, et le pire dans tout cela, c’est que les parents aujourd’hui partagent le même avis que leurs enfants, le matériel avant la morale !

Quelle épidémie ravageuse ! Et que devons-nous faire face à cette situation lamentable dans une société qui n’admet ni le concubinage, ni le célibat ?

Quelques penseurs estiment que la génération actuelle n’est plus comme celle d’avant, et que le problème du célibat de nos jours vient du fait que la femme veut achever ses études et avoir une bonne situation, les années passent sans qu’elle en s’en rende compte, alors que d’autre disent que le célibat est, soit un choix chez les uns, soit une fatalité chez d’autres vu qu’ils se trouveraient incapables de subvenir aux besoins de leurs familles « matérialistes ».

Malgré la divergence de ces explications, la situation reste précaire et les chiffres font vraiment peur dans certains pays qui possèdent une situation meilleure par rapport aux autres. La société doit se réveiller et les gens doivent comprendre que l’argent n’a jamais fait le bonheur, certes il y participe peut-être, mais il existe d’autres valeurs qui interviennent dans la fondation de la stabilité de la famille tout en sachant que les apparences sont toujours trompeuses, la jeunesse a besoin de cohésion sociale qui ne se réalise qu’ au sein de familles les moins avides et les plus unies.