Elle accepte qu'il lui défèque dessus pour 200 000 F CFA après chaque rapport !

  • 26/11/2013
  • Source : Autre Presse
Que ne s’accepteront pas les femmes pour de l’argent ? Sonia K. qui nous a raconté ce qu’elle qualifie à présent de mésaventure et qui ne pourrait y ressembler après la fin de notre conversation.

Cette étudiante qui nous a approché le week-end dernier pour faire part d’une situation survenue après avoir posé un acte qu’elle avoue avec recul désormais regretter et ce avec les tournures que prennent ses suites.
 
En effet, la jeune fille en question après avoir arpenté les bars et maquis de la place en exerçant le plus vieux métier du monde, la prostitution, croisera le chemin d’un homme d’affaires selon elle, dont l'identité nous sera, avec compréhension, non dévoilé.
 
Au détour d’une causerie, ce dernier finira par la convaincre pour une partie de ‘’jambe en l’air’’ dans un hôtel de la capitale économique d’Abidjan.
 
Arrivés dans ledit hôtel, l’amant du soir qui avait entre temps proposé la somme de 20 000 FCFA pour la nuit, va faire une proposition surprenante à sa partenaire en lui promettant dix fois plus c'est-à-dire 200 000 FCFA si elle acceptait qu’il défèque sur son corps après leur rapport. 
 
Éblouie par l’"énormité" de la somme, Sonia ne trouvera pas à redire celle qui dit avoir des soucis financiers depuis un certain moment et ne crachera pas sur le morceau.
 
Sonia était loin de se douter que son gourou du soir avait trouvé en elle une proie qui serait à son bon vouloir son nouvel objet de plaisir..
 
C’est ainsi qu’ à chaque fois qu’il est de passage dans la commune, l'homme s'adonne aux mêmes pratiques avec elle tout en n’augmentant la somme quelles que soient les supplices infligés à sa muse.
 
Sonia pleine de remords et qui ne veut plus participer au jeu décide alors de s’éloigner de son gourou. Chose qu’il refuserait actuellement et la menacerait souvent au téléphone comme rapporté par la femme. 
 
Pour l’heure et par mesure de sécurité cette dernière a préféré changer de numéro de téléphone et quitter son domicile depuis ce lundi malgré le fait que, par ailleurs, son amant n’ait jamais jugé bon de connaitre son domicile sous prétexte qu’il aurait voulu préserver son intimité comme nous l’indiquera pour finir une des proches de Sonia. 
 
Notons qu'en Côte d'Ivoire ces pratiques sont bien souvent, au delà des particularités de plaisir de certains, associées à des fins mystiques.