Yopougon : Une étudiante violée à bord d'un taxi

  • 17/01/2015
  • Source : Soir Info
Des criminels parmi les chauffeurs de taxis continuent de sévir. A.Y.A, une jeune étudiante d'une vingtaine d'années, est tombée, pour son malheur, sur un de ces mauvais individus. Et sa dignité de femme s'en est trouvée totalement souillée.

En effet, soutiennent nos sources, dans la nuit du vendredi 9 au samedi 10 janvier 2015, au terme d'une virée avec des amies à Yopougon, l'étudiante emprunte un taxi en face du Complexe « Jesse Jackson », dans le but de rentrer à la maison.

Là-bas, dans son quartier, à Niangon-Adjamé. Il est un peu plus de 3h du matin. Mais si la jeune fille savait ce qui l'attendait, elle se serait gardée d'embarquer dans ce taxi-compteur de marque Mitsubishi immatriculé 5197 GG 01. En tout cas, on le verra, les choses sont mal embarquées pour elle.

En effet, toujours selon les informations reçues, alors que le taxi parvient à hauteur de la station-service « Shell », sur la route de Dabou, le conducteur emprunte subitement une ruelle mal éclairée. Il verrouille ensuite les portières du taxi, avant de garer celui-ci à quelques encablures du « Marché Djédjé Bagnon ».

Alors que l'étudiante ne comprend rien à pareille manœuvre, le taximan brandit soudainement une barre de fer et menace de briser le crâne à l'étudiante, si elle osait s'opposer à sa sinistre volonté.

La fille, assise sur le siège avant, l'indélicat chauffeur de taxi la fait passer sur la banquette arrière. C'est là qu'il la rejoint, soulève violemment sa robe en un tour de bras et la viole sans avoir pris la peine de protéger cette relation sexuelle abjecte. Après avoir déversé sa semence dans l'étudiante, le violeur lui demande de se rhabiller. Puis lui-même remonte son pantalon.

Et c'est pendant qu'il exige que l'étudiante entre temps descendue du véhicule, remonte à ses côtés pour qu'il la sorte de la pénombre et la dépose au moins dans les environs de son domicile, qu'arrive une patrouille d'éléments du district de police de Yopougon. A la vue des flics, (...) Lire La suite sur Linfodrome