Yopougon - Tragique : Une mineure violée à mort dans un centre de perfectionnement

  • 25/11/2013
  • Source : Soir Info
Un acte, d'une ignominie révoltante, a été commis le mardi 19 novembre 2013, à Yopougon-Siporex. Il s'agit du viol ayant abouti à la mort d'une jeune fille de 15 ans, répondant au nom de K.A. Mélissa, et nièce de K.K, sergent de police de son état.

En effet, à en croire les informations reçues, le mardi 19 novembre 2013, aux environs de 19h, Mélissa est commise par les siens, à aller faire des emplettes au marché de Siporex. C'est à quelques mètres seulement du domicile de son oncle policier chez qui elle vit. Mais alors qu'elle est sensée être de retour sous peu, la petite fille ne pointe pas du nez. Jusque très tard, dans la nuit, le scénario demeure le même. Et de toute évidence, c'est l'inquiétude à la maison.
 
Alors, on part à sa r e c h e r c h e . Malheureusement, toutes les recherches restent vaines. Durant toute la nuit, personne ne ferme l’œil chez le policier. L'angoisse terrifie tout le monde. Vu qu'on ne sait rien du tout de ce qui peut être arrivé à la petite fille. On prie tout simplement, que malheur ne soit arrivé à Mélissa. Hélas, mille fois hélas, ce qui était craint, est ce qui se produit. De fait, très tôt le lendemain, la rumeur de la découverte du corps sans vie d'une jeune fille, violée, envahit le quartier Siporex.
 
Un corps qui traînerait dans la broussaille, à l'intérieur du Centre de perfectionnement aux techniques industrielles de Yopougon Siporex. Et la description faite du cadavre ne manque pas de donner froid dans le dos au policier et à sa famille. Parce que cette description, en effet, correspond à Mélissa. Alors, l'agent de police fonce sur les lieux. Et malheureusement, il s'agit bien du corps de sa nièce. La pauvre mineure, couchée sur le dos, avait les jambes écartées.
Et dans ses parties intimes largement visibles, nos sources avancent que l'on aperçoit des traces de violence sexuelle et du sang. Le sergent K.K, à la fois choqué et écœuré, se rend immédiatement au commissariat de police du 16ème arrondissement et signale les tragiques faits. Des agents se déportent sur place, pour le constat d'usage et le corps est enlevé, pour être conservé à la morgue du Chu de Yopougon. A pré- sent, une enquête est en cours, pour retrouver ces prédateurs sexuels, auteurs du viol mortel. Ça ne serait que justice.