Yamoussoukro: La femme fait échouer le mariage clandestin de son mari.

  • 06/01/2014
  • Source : Soir Info
Quant on sait qu’il y a quelques jours, une situation similaire avait fait la « Une » de votre quotidien, avec un scandale du même genre évoqué à Gagnoa où un boulanger s’est retrouvé avec deux femmes en pleine cérémonie de mariage. Une dame à qui on attribue le prénom Clémentine, commerçante de son état et un homme, tous deux vivant à Yamoussoukro, se sont retrouvés dans cette situation inconfortable. C’était le jeudi 26 décembre 2013. De quoi s’agitil ?

Nos sources indiquent que le couple constitué de K.C.R et T.E.A vivait en paix depuis de plus de 20 ans à Abidjan. Mais les données changent, avec la mutation, il y a deux ans maintenant, de K.C.R, à Yamoussoukro. Dans cette ville, l’homme tombe sous le charme de Clémentine. K.C.R est très vite emballé. Il décide alors de passer à la vitesse supérieure, en se mettant définitivement «la corde au cou» avec cette dame. En toute discrétion. Le jeudi 26 décembre 2013 est la date choisie.

Mais, entre temps, l’information est parvenue aux oreilles de la concubine de K.C.R. Elle saute dans le premier car de transport, pour la capitale politique en vue de préserver son foyer vieux de 23 années aujourd’hui. Elle prend attache avec les autorités locales de l’Etat civil. Lorsque le moment tant attendu arrive, pour les futurs heureux mariés, l’adjoint au maire, commis à la célébration, invite l’homme et son témoin, un médecin bien connu de la ville, à une concertation en privée.

Mais déjà, Clémentine avait eu vent de ce que son futur époux venait ainsi d’être pris en flagrant délit. Elle quitte précipitamment les lieux, pour échapper à la colère éventuelle de sa rivale. Et pour couper court à toutes velléités de railleries, elle soutient, une fois à “Morofé”, son lieu de résidence, qu’elle a eu à se marier, comme cela se devait, même si elle n’a pas l’alliance au doigt. Rappelons qu’au terme du conclave qui a permis une confrontation entre les concubins « légaux », l’officier de l’État civil a dû surseoir à la célébration de ce fameux mariage.