Une femme métisse demande à 25 pays de la photoshoper

Priscilla a grandi, "tiraillée entre deux cultures". Élevée par une mère japonaise qui lui disait de mettre de l'écran solaire pour ne pas bronzer et un père noir qui lui rappelait qu'elle ne ne serait jamais blanche, relate le Huffington Post.

Inspirée par l'expérience d'Esther Honig, elle aussi contacte plusieurs professionnels de la retouche photo à travers le monde, afin de voir comment un visage comme le sien peut être transformé.

En observant les résultats, provenant du Mexique, des USA, de Suisse, d'Algérie ou du Sri Lanka, Priscilla se rend compte qu'elle n'appartient "à aucun critère de beauté".

Un défi pour Photoshop
"En comparaison avec les photos d'Esther Honig, où son visage est devenu une toile permettant de projeter près d'une douzaine de standards beauté différents, je me suis rendu compte que mon apparence représentait un défi même pour Photoshop. En tant que femme avec des origines mixtes, je ne correspond tout simplement à aucun des standards de la beauté."