Un laboratin qui vendait du sang des femmes enceintes à des ritualistes a été arrêté au Ghana

  • 18/04/2017
  • Source : Afripulse
L’appât du gain rend fou dit-on, et cette histoire ne va sûrement pas démentir cet adage. Ce laborantin ghanéen, un assistant de laboratoire senior exerçant à l’hôpital du district d’Abura Dunkwa au Ghana a été pris en flagrant délit dans une histoire incroyable. Il a été arrêté par la police pour avoir vendu du sang de femmes enceintes à des ritualistes.

Appelé Stephen Enyan, il a été arrêté par la police dans le district, qui a reçu une information leur affirmant que le larron est impliqué dans une vente illégale de sang de femmes enceintes aux  ‘Sakawa’. Certaines  sources dignes de foi affirment que les femmes enceintes qui visitent l’hôpital pour passer le contrôle prénatal, ont été victimes de ce trafic. D’autres sources, affirment même que cela avait provoqué le décès de certaines femmes ou de leurs bébés..

Ces étranges révélations ont été corroborées par de nombreuses plaintes déposées au niveau de la hiérarchie de l’hôpital. Immédiatement, des enquêtes ont été lancées. La police du district d’Abura Dunkwa a été dûment alertée à ce sujet, ce qui a permis d’approfondir les enquêtes.

Bien que conscient des suspicions à son égard, le laborantin a quand même continué son business malhonnête mais a fini par se faire piéger par un policier qui s’est fait passer pour un client.

L’ayant contacté sur Whattsapp, le policier a accepté de payer 100 000 GH ¢ contre le sang d’une femme enceinte, et a promis de verser 250 GH ¢ comme avance du montant.

Appelé Stephen Enyan, il a été arrêté par la police dans le district, qui a reçu une information leur affirmant que le larron est impliqué dans une vente illégale de sang de femmes enceintes aux  ‘Sakawa’. Certaines  sources dignes de foi affirment que les femmes enceintes qui visitent l’hôpital pour passer le contrôle prénatal, ont été victimes de ce trafic. D’autres sources, affirment même que cela avait provoqué le décès de certaines femmes ou de leurs bébés..

Ces étranges révélations ont été corroborées par de nombreuses plaintes déposées au niveau de la hiérarchie de l’hôpital. Immédiatement, des enquêtes ont été lancées. La police du district d’Abura Dunkwa a été dûment alertée à ce sujet, ce qui a permis d’approfondir les enquêtes.

Bien que conscient des suspicions à son égard, le laborantin a quand même continué son business malhonnête mais a fini par se faire piéger par un policier qui s’est fait passer pour un client.

L’ayant contacté sur Whattsapp, le policier a accepté de payer 100 000 GH ¢ contre le sang d’une femme enceinte, et a promis de verser 250 GH ¢ comme avance du montant.

Une méthode qui a largement contribué à l’arrestation du technicien de laboratoire. Il a été arrêté quand il est passé récupérer le reste de son argent. Stephen Enyan aurait vendu le sang pour des prix allant de 5000 GH ¢ à 10 000 GH ¢.

Actuellement en garde à vue, le suspect sera prochainement mis en face du juge.