Le moins qu'on puisse dire, c'est que les Dieux n'étaient pas avec lui. Ce fripon qui opérait dans un domicile à la Riviera Sciad-Primo. Et comment les Dieux pouvaient-ils d'ailleurs être avec lui ? Lui qui commettait un acte banni des dix commandements de Dieu.
En effet, à en croire les renseignements, dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 novembre 2016, dame L.N. et sa petite famille sont endormies à son domicile. Il est environ 4h du matin. Pour un malfrat solitaire, ce moment est idéal, pour qu'il mette à exécution son sombre projet. Convaincu qu'il est qu'à cette heure-là, ses cibles pioncent à poings fermés, comme des nouveau-nés. Ainsi, après avoir escaladé la clôture, il se retrouve dans la cour. Et se jette sur l'une des fenêtres de la salle de séjour pour la défoncer. L'ouverture qu'il s'offre de façon malveillante, lui permet alors de se glisser à l’intérieur de l'appartement.
Jusque-là, les Dieux sont avec lui. Au salon, il passe en revue les biens sur place. Notamment, les appareils électroménagers. Il a sans doute l’embarras du choix et ne sait par où commencer. Il prend son temps, comme s'il se croyait dans un supermarché de libre service. Pourtant, il aurait dû mettre une vitesse d'exécution dans son acte, prendre ce qui lui tombe sous la main et dégager rapidement de là. Ainsi, alors qu'il contemple les biens, se réveille au même moment, la fille de ménage des lieux. Celle-ci voulait satisfaire un besoin naturel pressant. Et c'est ainsi, qu'elle surprend le voleur. Dérouté, le quidam qui a tout prévu, sauf ce scénario, s'empare juste d'un téléphone-portable longtemps utilisé et même pas de dernière génération. Puis, il fait parler la puissance de ses jarrets. Et tel un faux goal-keeper, il se jette maladroitement par la fenêtre qu'il avait préalablement défoncée. Avec toute sa corpulence bedonnante, il force (...) Lire La suite sur Linfodrome
Riviera : Un malfaiteur mis en déroute par une fille de ménage - Photo à titre d'illustration