Vie associative / Rentrée solennelle : La JCI met en place 18 millions F CFA pour mener ses activités en 2014

18 millions de francs CFA, c’est le montant du budget que la Jeune chambre internationale (JCI) Abidjan a mis en place pour mener ses activités de l’année 2014.

Cette information a été livrée par son Président exécutif, Gbezo Hippolyte, lors de la rentrée solennelle de cette association de jeunesse, le samedi 18 janvier 2014 à la salle de conférence du Conseil national de l’Ordre des architectes à Cocody.

Selon lui, la jeunesse ne doit pas rester en marge du processus de développement économique et social prôné pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent. Il a, donc, appelé la jeunesse à se tourner vers les initiatives privées avec la JCI comme catalyseur. Gbezo Hippolyte a, aussi, dévoilé le programme d’action de la JCI pour cette mandature qui élargi dans divers domaines.

Il s’agit : du programme de formation qui porte sur les membres et les activités communautaires qui sortiront des sentiers habituels. La Jci compte se rapprocher de la population à travers des actions concrètes via le projet de don aux enfants malades de l’ulcère de Buruli. « Une maladie qui touche les couches les plus vulnérables dans la tranche de 0 à 15 ans tout en ayant un impact sur la politique nationale sanitaire, éducative et le plein épanouissement de la jeunesse ».

Il a, appelé toutes les forces vives à soutenir la lutte pour éradiquer cette infection et autres maladies tropicales négligées d’ici à 2020. Le représentant du Président national, Kadogognon Alassane a déclaré que le challenge pour le mandat 2014 est de faire de la JCI-Côte d’Ivoire et de ses membres, des modèles. Il les a incités à tout mettre en œuvre pour que leur organisation soit la plateforme où le monde des affaires et la société civile se retrouvent.

Le parrain, Dochamou Magloire, Directeur général (DG) de FEDASCI a invité les membres de la Jci à travailler ensemble car, dira-t-il, les plus grandes victoires s’acquièrent dans l’unité et la solidarité. Malgloire Dochamou a, en outre, insisté sur le fait que la jeunesse devra, tôt ou tard par ses actions et ses initiatives, influencer positivement le cours de l’histoire et tout faire pour sortir l’Afrique du sous-développement.