L’État intensifie la lutte contre la vente illégale de médicaments et compléments alimentaires en ligne

Cette mesure, annoncée dans un communiqué largement diffusé, vise à endiguer la circulation de produits non homologués et potentiellement dangereux pour la population.

Selon cet avis, toute activité de vente en ligne de ces produits constitue désormais une infraction passible de poursuites pénales. Les sanctions prévues incluent une peine de prison, une amende pouvant aller de 5 à 10 millions de FCFA, ainsi que le règlement de dommages et intérêts.

Les livreurs également exposés aux sanctions

Dans une démarche d’encadrement plus rigoureuse, les autorités préviennent également les livreurs et services de transport. Ces derniers, lorsqu’ils participent à la distribution de produits interdits, seront « interpellés, mis à la disposition de la justice et soumis à la rigueur de la loi au même titre que les vendeurs ».

Cette mesure marque une intensification des contrôles en réponse à l’essor des ventes informelles sur les réseaux sociaux, plateformes de messagerie et sites de commerce en ligne.

Une pratique dangereuse pour la santé publique

La vente en ligne de médicaments, largement répandue ces dernières années, représente un risque majeur pour les consommateurs. Les produits proposés proviennent souvent de circuits non officiels, échappent aux contrôles de qualité et n’offrent aucune garantie d’authenticité.
Les autorités invoquent notamment :

• la prolifération de médicaments contrefaits,

• l’absence de suivi médical,

• les risques d’interactions ou de toxicité,

• la mauvaise conservation des produits transportés hors circuits pharmaceutiques.

Face à ces menaces, l’État entend protéger la population en stoppant la circulation de ces produits via Internet.

Les entrepreneurs digitaux face à une nouvelle réalité

De nombreux vendeurs informels – souvent sans le savoir – se retrouvent aujourd’hui en situation d’illégalité.
Cette interdiction pousse donc les entrepreneurs à repenser leur activité digitale, surtout ceux qui évoluent dans le bien-être et le marketing de réseau (MLM).

Toutefois, selon plusieurs experts du digital, cette crise peut se transformer en opportunité : celle d’adopter des modèles d’affaires légaux, durables et sécurisés.

Le MLM Digital professionnel : une alternative conforme et innovante

Le MLM Digital connaît une croissance importante en Afrique, mais beaucoup d’acteurs ignorent qu’il est possible de le pratiquer sans vendre de médicaments, de compléments alimentaires ni aucun produit à risque.

Le MLM Digital légal repose sur :

• la promotion de services numériques,

• la formation,

• le développement d’audience,

• la création de réseaux,

• l’automatisation marketing,

• la recommandation de produits nutritionnels

• et l’exploitation d’écosystèmes 100 % digitaux.

Pour accompagner les entrepreneurs dans cette transition, un outil pédagogique se distingue :
Le Guide Pratique du MLM Digital (Cliquez ici pour acceder au guide)

Ce guide enseigne :

• comment pratiquer le MLM Digital sans jamais tomber sous le coup de la loi,

• des stratégies puissantes et modernes pour réussir à faire du MLM autrement,

• comment développer un réseau et générer des revenus grâce au digital,

• comment structurer un business MLM en ligne sans vendre de médicaments, compléments alimentaires ou produits sensibles.

Ce guide constitue aujourd’hui une ressource de référence pour celles et ceux qui souhaitent poursuivre une activité MLM, mais de manière totalement conforme, éthique et sécurisée.

L’interdiction de la vente en ligne de médicaments en Côte d’Ivoire est une mesure forte, essentielle pour la protection de la population.
Si elle contraint de nombreux vendeurs informels, elle ouvre aussi la voie à de nouveaux modèles économiques plus sûrs.

Le MLM Digital légal s’impose comme une option sérieuse, moderne et viable pour les entrepreneurs souhaitant se développer sans enfreindre la loi.
Le Guide Pratique du MLM Digital accessible ici  leur offre les outils nécessaires pour réussir dans ce nouveau cadre réglementaire.