Cérémonie d’ouverture de la 2ème édition des Rencontres Internationales des Arts Numériques d’Abidjan

  • 11/02/2018
  • Source : Lebabi.net
Les rencontres internationales des arts numériques d’Abidjan RIANA 2018 ont débuté hier jeudi 08 février 2018 dans le hall de l’Institut Français d’Abidjan-Plateau, avec la cérémonie d’ouverture programmée à 19 h, en présence du directeur de l’Institut Français, du directeur de Transculture (Wallonie-Bruxelles) et du représentant du Ministre de la Communication de l’économie numérique et de la poste sans oublier la presse numérique. Spectacle, performance, exposition, installation et des ateliers de formation ont meublé cette cérémonie.

Le coup d’envoi officiel a été donné par le directeur de l’Institut Français de Côte d’Ivoire (IFCI) Patrice THEVIER qui dans son mot de bienvenu a signifié que ledit institut est un partenaire stratégique qui accompagne le RIANA depuis sa création en 2016. L’IFCI est un acteur culturel de premier plan parfaitement intégré dans le tissu social, artistique et culturel local.

A la suite du directeur de l’Institut le promoteur Jacob BLEU et initiateur de ladite cérémonie a précisé le sens de l’évènement et saluer les partenaires. Il a par ailleurs évoqué la prestation des artistes qui ont impressionné le public par leurs expressions artistiques à travers le  numérique.

Le troisième intervenant le directeur de Transculture (Wallonie-Bruxelles) Philippe Franck a expliqué la transculture qui est un centre interdisciplinaire des cultures numériques et sonores qui conjugue les dimensions de productions, de diffusions, de réflexions et de sensibilisation pour développer les nouvelles pratiques artistiques innovantes.

Le dernier intervenant le représentant du Ministre de la communication de l’économie numérique et de la poste Modibo SAMAKE quand à son tour a souligné que le numérique reste une priorité pour le gouvernent et a salué l’initiative de  cet évènement.

Notons que cette cérémonie revêt en effet un symbole d’expression artistique à l’ère numérique.

Rachèle ATTA